Étant artiste peintre d’influence Baroque, l’exploration des nouvelles technologies m’a permis de questionner la désincarnation de l’image devenue fantomatique dans une société saturée d’écrans. Dans ces oeuvres, je déconstruis l’image sensible pour y greffer des images non humaines dites de synthèse. Cette hybridation de médium technologique contemporain et plus classique me permet de contraster l’évolution de ce vecteur d’idéologie qu’est l’image. Dans ce sens, je crée, une orchestration lumineuse, éclairant les oeuvres ou les complétant avec des images générées par ordinateur. Dans ces nature morte, voir Vanitas, j’aborde les thèmes de l’illusoire, de la transformation et du superficiel.
Premièrement, l’illusion est une notion en peinture qui ne date pas d’hier. Cette illusion matériel s’est transformée en une image mathématique et lumineuse se rapprochant de l’ordre de l’idéal. L’accessibilité au pouvoir informatique à engendrer des questionnements face à ma propre connection à l’image.
Deuxièmement, découlant de ces réflexions, j’ai créé ces oeuvres traitant de la synthétisation, voir l’ultra-transformation, des images mais aussi des parfums et du sons. Il est important pour moi d’incorporer des éléments sensibles pour pouvoir montrer au spectateur mon point qui souligne la déconnection grandissante avec la nature et l’origine des objets que nous consommons.
Troisièmement, la superficialité de l’image peinte sur du carton représente les caractéristiques matérialiste périssable et humaine, tandis que la projection, image de synthèse projetée, représente l’élément éternel et idéal de l’image. Cette dualité n’est pas nouvelle, ce qui est nouveau c’est le paradigme technologique qui relativise ces deux extrêmes quitte à rendre l’homme obsolète.
Finalement, mon oeuvre peut être perçu comme une critique dans un contexte post-idéologique du système capitalisme vieillissant et vicieux. Certe, les oeuvres décrivent le coté psychologique du personnage ou du spectateur par sa consommation, ils évoquent surtout le côté illusoire de la vie matériel où la seule certitude est la mort.
Premièrement, l’illusion est une notion en peinture qui ne date pas d’hier. Cette illusion matériel s’est transformée en une image mathématique et lumineuse se rapprochant de l’ordre de l’idéal. L’accessibilité au pouvoir informatique à engendrer des questionnements face à ma propre connection à l’image.
Deuxièmement, découlant de ces réflexions, j’ai créé ces oeuvres traitant de la synthétisation, voir l’ultra-transformation, des images mais aussi des parfums et du sons. Il est important pour moi d’incorporer des éléments sensibles pour pouvoir montrer au spectateur mon point qui souligne la déconnection grandissante avec la nature et l’origine des objets que nous consommons.
Troisièmement, la superficialité de l’image peinte sur du carton représente les caractéristiques matérialiste périssable et humaine, tandis que la projection, image de synthèse projetée, représente l’élément éternel et idéal de l’image. Cette dualité n’est pas nouvelle, ce qui est nouveau c’est le paradigme technologique qui relativise ces deux extrêmes quitte à rendre l’homme obsolète.
Finalement, mon oeuvre peut être perçu comme une critique dans un contexte post-idéologique du système capitalisme vieillissant et vicieux. Certe, les oeuvres décrivent le coté psychologique du personnage ou du spectateur par sa consommation, ils évoquent surtout le côté illusoire de la vie matériel où la seule certitude est la mort.